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  ANTINOÜS SERANILL - ONCLE BEN

Venus de Willendorf

Les Vénus paléolithiques sont comme leurs noms l’indiquent des statuettes eurasiatiques féminines caractéristiques de la période du paléolithique supérieur (période de la Préhistoire qui est caractérisée par l’arrivée de l’homo-sapiens en Europe entre 45 000 et 10 000 ans avant notre ère).
C’est en 1864 que la première Vénus paléolithique fut découverte à Laugerie-Basse. Connu sous le nom de « Vénus impudique ».
Concernant les interprétations des Vénus paléolithiques, beaucoup de théories s’affrontent allant de la théorie des premières images pornographiques jusqu’à la matérialisation d’une divinité associée au culte de la fécondité ou de la Déesse-Mère.
Le terme de Vénus leur fut donné par analogie à la déesse de la beauté romaine parce que les préhistoriens pensent qu’elles représentaient les idéales de beauté durant la période du paléolithique supérieure.
Le culte des Vénus suit le principe des cultes des ancêtres, le culte du premier esprit, de la première mère, la mère de nos mères.

LA LÉGENDE

La légende dit que du néant est né l’Unique, le UN.

Celui sans nom, sans sexe, sans visage, UNIQUE et pourtant multiple, Ténèbres et pourtant Lumière.

Le UN donna naissance à notre monde, au cosmos, au ciel, aux étoiles, à la terre, aux océans, aux vents et aux flammes.

Il organisa l’univers afin que tout soit en mouvement, que le soleil du jour laisse place à la lune de la nuit et la lune de la nuit laisse place au soleil du jour.
 
De cette terre, humide il donna le souffle de la vie aux plantes, aux animaux et aux hommes.
 
Alors que les animaux et les plantes devaient suivre un schéma de vie, réglé sur les cycles de la nature.
L’Unique offrit aux hommes le plus beau des cadeaux, le libre arbitre, ainsi qu’une responsabilité, celui d’être au-delà du règne animal, au delà du règne végétal. Le lien entre lui et la terre. Et pour cela ils leurs donna la parole, la réflexion et l’amour.
 
Mais comme tout doit être équilibre, l’homme doit faire partie de cet équilibre.
 
Et malgré que l’Unique ait donné aux humain la beauté de la vie, il leur offrit aussi la beauté de la mort afin d’équilibrer le tout.
La première génération d’humains vivait comme dans un paradis, ils ne connurent aucune guerre, aucune maladie, aucun mort.
 
La légende nous raconte que :
Le premier être humain à mourir fut une jeune femme, la première mère, la première femme à avoir connu les plaisirs du corps et la souffrance de l’enfantement. Elle mourut en couche sans avoir pu connaitre son enfant qui venait de naitre.
 
Dans le monde des esprits, la première des mères découvrit que les hommes se retrouvaient seuls, sans aide, sans protecteur, et que son enfant vivra sans son réconfort et qu’il ne sera jamais protégé. Elle décida donc  de rester sur terre près de lui et de son clan, son peuple, sa famille.
Ainsi naquit le premier esprit, le premier ancêtre, le premier dieu. La mère de tous, dont nous descendons tous. Celle qui fut représentée dés le néolithique sous la forme d’une femme enceinte, une mère.
Elle fut connue à travers les âges sous différents noms :
 
Balisama, Bastet, Durga, Ishtar, Dea Matrona, Hestia, Vesta, Frigg, Gabija, Matka Gabia, Berehynia, Anito, Kamui Fuchi, Zashiki warashi, Chantico, Marie.
Pour plus d’information sur le culte des Vénus du Paléolithique, commander le livre : MANUEL DE DÉVOTION DES VENUS DU PALÉOLITHIQUE
 en cliquant sur l’image suivante :
Photo
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